Vengeance digitale

Vengeance digitale : comment se protéger ?

Suite à l’entrée en vigueur de la loi RGPD en 2018, on parle de plus en plus de protection des données personnelles. Il devient de plus en plus compliqué pour les internautes de savoir où sont leurs données personnelles et comment les protéger. Pire, il est désormais courant de subir des attaques digitales de personnes souhaitant nous nuire (diffamations et dénigrements sur Internet par exemple). Qu’il s’agisse d’une entreprise concurrente ou d’un ex-compagnon, iProtego vous aide à vous défendre face aux attaquants.

 

La vengeance numérique, à ne pas sous-estimer

Qu’est-ce que la vengeance digitale ? Il s’agit d’un acte à but de nuire de la part d’un tiers. Il peut s’agit de diffamation, de cyber-harcèlement, de diffusions de photos ou données personnelles…

Vengeance digitale, un plat qui se mange chaud

Le problème de ce type de vengeance numérique, c’est la portée qu’elles peuvent avoir, ainsi que la rapidité à laquelle elles peuvent se propager.

Par exemple, le Revenge Porn. Cette pratique consiste à poster en ligne (Facebook, blogs…) des photos (ou vidéos) intimes d’une personne, sans son accord. Le problème, c’est qu’avec Internet, tout va très vite. En quelques minutes, un grand nombre de gens peuvent avoir vu ces images.

En 2016, les photos dénudées de la jeune Juliette, 15 ans, avaient fait le tour des réseaux sociaux. Elle subissait un harcèlement, et n’a pas supporté la pression qui l’a poussé au suicide. Il est donc primordial de ne pas sous-estimer la gravité que peuvent avoir ces attaques et vengeances numériques.

Quelles solutions efficaces face à ces attaques ?

Chez iProtego, notre équipe juridique est au fait de toutes les lois et règles qui touchent à la protection de vos données personnelles. Chaque cas est étudié avec attention avant de décider comment y remédier (contact avec Google, négociation avec l’hébergeur du site, recours juridique…).

Les peines encourues pour les coupables

Juridiquement, chaque cas est différent. Par exemple, le cyber-harcèlement est reconnu comme un délit depuis 2014. Le harcèlement en ligne a lieu sur des plateformes numériques (réseaux sociaux, téléphones portables, messageries, jeux en ligne, blogs…), le coupable peut encourir jusqu’à 3 ans d’emprisonnement et payer une amende de 45 000 si la victime est âgée de moins de 15 ans (le harcèlement numérique est puni plus sévèrement dans ce cas).

Le revenge porn (ou vengeance pornographique), quant à lui, est seulement réprimé depuis 2016. Le fait de publier ces données à caractère sexuel dans le but de nuire représente un chantage. Cela est passible de 5 ans de prison, et de 75 000 € d’amende. Cela peut même être considéré comme du harcèlement si le coupable récidive, ou s’il diffuse ces images intimes dans le but d’obtenir un acte sexuel.

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